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Mardi 5 Novembre 2013

La pêche au centre des réunions de la commission parlementaire mixte Maroc-UE à Bruxelles

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La pêche au centre des réunions de la commission parlementaire mixte Maroc-UE à Bruxelles

La commission parlementaire mixte (CPM) Maroc-UE tient lundi et mardi au siège du Parlement européen à Bruxelles une série de réunions axées en particulier sur la coopération Maroc-UE dans le secteur de la pêche.

Les députés marocains auront des entretiens avec plusieurs de leurs homologues européens de différentes sensibilités et groupes politiques, axés sur le nouveau protocole fixant les possibilités de pêche et la contrepartie financière prévues par l'accord de partenariat entre le Maroc et l'UE dans le domaine de la pêche, a indiqué le président de la CPM, Abderrahim Atmoune dans une déclaration à la MAP.

A travers ces rencontres, les parlementaires marocains entendent sensibiliser leurs interlocuteurs européens à l'importance du nouveau protocole de pêche paraphé le 24 juillet dernier par le Maroc et la Commission européenne et dont l'entrée en vigueur requiert l'approbation des institutions parlementaires du Maroc et de l'UE, a-t-il ajouté. 

Les députés marocains mettront en avant, à cette occasion, le caractère équilibré du nouveau protocole qui permettra de renforcer la coopération entre le Maroc et l'UE en vue de l'instauration d'un cadre de partenariat pour le développement d'une politique de pêche durable qui bénéficie aux deux parties. 

Le nouveau protocole UE sera examiné lundi après-midi par la commission Pêche du Parlement européen. Les débats s'articuleront essentiellement sur le rapport de l'eurodéputée espagnole Carmen Fraga Estevez concernant ce nouveau protocole.

Dans son projet de recommandation au nom de la commission Pêche, Mme Carmen Fraga Estévez, membre du Groupe du Parti Populaire Européen (Démocrates-Chrétiens), recommande au Parlement européen d'approuver le protocole, car celui-ci "peut permettre le rétablissement des relations de pêche avec le Maroc sur de nouvelles bases, nettement mieux adaptées aux exigences du Parlement, tant du point de vue économique et financier que du point de vue de la durabilité sociale et environnementale". 

Les membres marocains de la CPM devront prendre part à cette réunion de la commission pêche, ainsi qu'à celle de la commission Développement du Parlement européen qui procédera mardi au vote du projet d'avis de l'eurodéputé Cristian Dan Preda sur le protocole de pêche Maroc-UE. 

Le vote en commission Pêche du nouveau protocole de pêche Maroc-UE est prévu le 27 novembre.

Mme. Carmen Fraga: L'accord de pêche répond aux critères du Parlement et au mandat du Conseil européen

Le nouveau protocole de pêche Maroc-UE répond aussi bien aux critères établis par le Parlement européen qu'au mandat du Conseil européen, a affirmé, lundi à Bruxelles, l'eurodéputée espagnole Carmen Fraga Estévez. 

"C'est un accord légal du point de vue juridique", a-t-elle lancé à l'adresse de certains membres de la commission pêche du Parlement européen qui mettent en avant des arguments idéologiques désuets, notant que l'avis du service juridique du Parlement est clair et ne laisse point d'équivoque à ce sujet. 

Mme. Fraga Estévez, qui présentait son rapport sur ce protocole à la commission pêche du PE, a souligné que l'accord de pêche Maroc-UE ne pose pas de problème du point de vue de la légalité internationale, et satisfait également tous les exigences en matière de durabilité et de respect de l'environnement. 

"Le protocole peut permettre le rétablissement des relations de pêche avec le Maroc sur de nouvelles bases, nettement mieux adaptées aux exigences du Parlement, tant du point de vue économique et financier que du point de vue de la durabilité sociale et environnementale", a-t-elle encore insisté. 

C'est pour toutes ces raisons que l'eurodéputée espagnole a recommandé dans son projet de rapport au Parlement européen l'approbation de ce nouveau protocole de pêche qui a été paraphé le 24 juillet dernier par la Commission européenne et le Maroc. 

Dans son argumentaire, Mme Fraga a affirmé que le nouveau protocole apporte des améliorations notables et reflète les efforts majeurs consentis afin de répondre aux exigences du Parlement européen. 

Conformément aux recommandations de l'Hémicycle, les possibilités de pêche offertes par le nouveau protocole ont été augmentées de 33 pc et les adaptations apportées dans ce sens correspondent davantage aux niveaux d'utilisation réels, a-t-elle expliqué. 

L'eurodéputée espagnole a également fait observer que les zones de pêche ont été modifiées pour être mieux adaptées aux besoins des flottes et permettre la mise en conformité avec les conditions imposées par le Maroc de même que pour ce qui est de l'embarquement des marins marocains à bord des navires européens. 

S'agissant du rapport coûts/avantages de ce nouveau protocole, l'eurodéputée a indiqué que la contrepartie financière annuelle de l'UE a diminué passant de 36,1 millions d'euros à 30 millions et que la contribution des armateurs a, pour sa part, augmenté de près de 200 pc par rapport au précédent accord. 

Elle a également précisé que le nouveau protocole renforce l'appui à la politique sectorielle, conformément aux demandes du Parlement, relevant que les actions financées au titre du protocole sont formellement intégrées dans le plan Halieutis qui vise à développer la filière pêche au Maroc.

Pour ce qui est de la question de durabilité, elle a noté que le Maroc et l'UE ont mesuré pleinement l'importance de fixer les excédents et les possibilités de pêche conformément à des critères rigoureux et ont tenu à associer lors des négociations les scientifiques des Etats membres de l'Union que ceux de l'institut national marocain de recherches halieutique (INRH). 

"C'est la première fois qu'un protocole pose les bases d'une coopération scientifique renforcée et aboutit à un compromis pour la mise en place d'un système d'échange électronique d'informations, notamment des données de captures", s'est-elle félicitée.

Parlement européen : Plusieurs eurodéputés pour l'approbation de l'accord de pêche Maroc-UE

Plusieurs eurodéputés, membres de la commission de pêche du Parlement européen, ont exprimé, lundi au siège de l'hémicycle à Bruxelles, leur soutien au protocole de pêche entre le Maroc et l'Union européenne, mettant en avant un "accord équilibré" qui profite aux deux parties. 

Pour Maria Patrao Neves, membre du groupe du Parti Populaire Européen (Démocrates-Chrétiens), ce protocole d'accord est "très équilibré" dans tous ses aspects relatifs au ratio coût-avantage, à la préservation des ressources halieutiques et à l'amélioration des possibilités de pêches dans les eaux marocaines.

C'est aussi un accord "exemplaire" en matière de durabilité, dans le sens où il stipule un nombre de points relatifs au suivi réel et scientifique de l'exploitation des ressources, a ajouté la parlementaire portugaise, qui a appelé à accélérer le processus de son approbation. 

"Il faut dépasser toutes les considérations idéologiques infructueuses et aller de l'avant, car les navires européens ont subi des effets négatifs causés par la non-reconduction de l'ancien accord", a-t-elle lancé à l'adresse aux quelques détracteurs de cet accord au sein de la Commission pêche.

De son côté, Alain Cadec, vice-président du groupe du Parti Populaire Européen a souligné que le protocole, fruit d'un long processus de négociations et de discussions, est largement positif.

Le parlementaire français a indiqué que cet accord, qui prend en compte de manière substantielle les exigences du PE d'ordre financière, économique, social et environnementale, devra profiter à toutes les régions du Royaume.

M. Cadec, qui dit soutenir pleinement ce protocole, a cité parmi ces améliorations majeures, l'augmentation des possibilités de pêche, la réduction de la contrepartie financière à la charge du budget communautaire et le renforcement de la politique sectorielle. 

Pour sa part, Guido Milana, vice-président du groupe de l'Alliance Progressiste des Socialistes et Démocrates au PE a assuré que le nouveau protocole présente une réelle avancée par rapport au précédent, dans la mesure où il respecte les exigences de l'UE en matière environnementale et de durabilité des ressources halieutiques. 

Le parlementaire italien a appelé l'ensemble des eurodéputés à "ne pas rééditer l'erreur de 2010 et voter en faveur de cet accord, qui est nettement meilleur que le précédent". 

Auparavant, l'eurodéputée espagnole Carmen Fraga Estévez a présenté son rapport sur ce protocole à la commission pêche du PE, où elle souligne que le nouveau protocole répond aussi bien aux critères établis par le Parlement européen qu'au mandat du Conseil européen.

Mme Fraga Estévez a encore une fois assuré que l'accord de pêche Maroc-UE ne pose pas de problème du point de vue de la légalité internationale et satisfait tous les exigences en matière de durabilité et de respect de l'environnement. 

Conclu pour une durée de quatre ans, le nouveau protocole prévoit six catégories de pêche avec une réduction des possibilités de pêche par rapport au précédent en autorisant 126 navires européens contre 137 auparavant.

Ce protocole, dont la contrepartie financière totale annuelle estimée se chiffre à 40 millions d'euros dont 14 millions dédiés au renforcement économique du secteur de la pêche nationale, a pour objectif principal d'offrir des possibilités de pêche pour les navires de l'UE dans les eaux du Maroc dans les limites du reliquat disponible. 

Il vise aussi à renforcer la coopération entre Rabat et Bruxelles en vue de l'instauration d'un cadre de partenariat pour le développement d'une politique de pêche durable qui bénéficie aux deux parties.

UE/Maroc : Dan Preda recommande au Parlement européen l'approbation de l'accord de pêche

Le rapporteur de la commission Développement du Parlement européen, Cristian Dan Preda, a recommandé au Parlement européen d'approuver la conclusion du protocole de pêche entre le Maroc et l'Union européenne. 

Dans son projet d'avis sur ce protocole qui sera examiné mardi au sein de la commission Développement, l'eurodéputé du Groupe du Parti Populaire Européen (Démocrates-Chrétiens) souligne que l'approbation du nouveau protocole renforcera le partenariat entre l'UE et le Maroc et contribuera au développement de la filière pêche. 

Pour ces raisons et bien d'autres, l'eurodéputé roumain a invité les parlementaires européens à saisir l'occasion que représente cet accord pour collaborer de manière constructive avec le partenaire marocain afin de promouvoir 'nos valeurs et objectifs communs''. 

Il a également mis en avant l'importance particulière de cet accord qui représente environ un quart du budget que la DG MARE (La direction générale des affaires maritimes et de la pêche) alloue aux accords de pêche bilatéraux, notant que les améliorations apportées par ce protocole répondent dans une large mesure aux exigences formulées par le Parlement européen en décembre 2011. 

Le rapporteur de la commission Développement a expliqué à ce propos que le principe de durabilité a été bien pris en compte lors des négociations dans la mesure où les deux parties ont pleinement tenu compte des rapports scientifiques relatifs à l'état des stocks et à leur évolution probable, ainsi qu'à l'évaluation du niveau d'utilisation des possibilités de pêche prévues dans le protocole précédent. 

L'accord consolide aussi les dispositions de contrôle des quantités capturées par les navires de pêches de l'Union européenne à travers la mise en place de missions conjointes, la présence de marins marocains à bord des navires de l'Union et le renforcement du système de suivi par satellite. 

Le protocole est également conforme aux exigences en matière de développement car près de la moitié de la contrepartie financière (14 millions d'euros) sera consacrée à la promotion du secteur de la pêche au Maroc et profitera plus particulièrement au plan Halieutis, qui vise à renforcer la durabilité, la performance et la compétitivité de ce secteur économique au cours de la période 2010-2020, a-t-il insisté. 

Dan Preda a, en outre, fait observer que la particularité de cet accord réside aussi dans le fait qu'il a été conclu entre deux partenaires qui partagent une frontière commune et qui ont décidé de renforcer leurs relations politiques et de s'acheminer vers une intégration progressive de leurs économies. 

'L'accord d'association entré en vigueur en 2000 et le statut avancé accordé au Maroc en 2008 démontrent la volonté des deux parties de continuer à renforcer leurs relations bilatérales'', a noté le parlementaire européen qui a rappelé que le Maroc est le premier pays du voisinage européen à avoir obtenu un statut avancé il y a 5 ans et 'reste l'un des plus proches alliés de l'Europe dans une région en proie aux troubles''. 

UE-Maroc : La commission Développement recommande au Parlement européen l'approbation de l'accord de pêche

La commission Développement du Parlement européen, réunie mardi à Bruxelles, a recommandé l'approbation du protocole de pêche entre le Maroc et l'Union européenne. 

Dans son rapport sur ce protocole adopté mardi, la commission souligne que le nouveau protocole, paraphé en juillet dernier par le Maroc et la Commission européenne, renforcera le partenariat entre les deux parties et contribuera au développement de la filière pêche du Royaume. 

Rédigé par l'eurodéputé Cristian Dan Preda, du Groupe du Parti Populaire Européen (Démocrates-Chrétiens), le rapport met en avant les améliorations apportées par ce protocole qui répond dans une large mesure aux exigences formulées par le Parlement européen en décembre 2011. 

Le texte relève que le principe de durabilité a été bien pris en compte lors des négociations dans la mesure où le Maroc et l'UE ont pleinement tenu compte des rapports scientifiques relatifs à l'état des stocks et à leur évolution probable, ainsi qu'à l'évaluation du niveau d'utilisation des possibilités de pêche prévues dans le protocole précédent. 

La Commission Développement du Parlement européen souligne que ce nouveau protocole consolide aussi les dispositions de contrôle des quantités capturées par les navires de pêches de l'Union européenne, à travers la mise en place de missions conjointes, la présence de marins marocains à bord des navires de l'Union et le renforcement du système de suivi par satellite. 

Le protocole est également conforme aux exigences en matière de développement car près de la moitié de la contrepartie financière (14 millions d'euros) sera consacrée à la promotion du secteur de la pêche au Maroc et profitera plus particulièrement au plan Halieutis, qui vise à renforcer la durabilité, la performance et la compétitivité de ce secteur économique au cours de la période 2010-2020. 

Dans son argumentaire, Dan Preda, également membre du Groupe d'amitié UE-Maroc au Parlement européen, fait observer que la particularité de cet accord réside aussi dans le fait qu'il a été conclu entre deux partenaires qui partagent une frontière commune et qui ont décidé de renforcer leurs relations politiques et de s'acheminer vers une intégration progressive de leurs économies. 

''L'accord d'association entré en vigueur en 2000 et le statut avancé accordé au Maroc en 2008 démontrent la volonté des deux parties de continuer à renforcer leurs relations bilatérales'', soutient-il. 

Il rappelle aussi que le Maroc est le premier pays du voisinage européen à avoir obtenu un statut avancé il y a 5 ans et ''reste l'un des plus proches alliés de l'Europe dans une région en proie aux troubles''. 

Pour ces raisons et bien d'autres, l'eurodéputé roumain invite les parlementaires européens à saisir l'occasion que représente cet accord pour collaborer de manière constructive avec le partenaire marocain afin de promouvoir ''nos valeurs et objectifs communs''. 

L'accord de pêche UE/Maroc représente environ un quart du budget que la DG MARE (La direction générale des affaires maritimes et de la pêche) alloue aux accords de pêche bilatéraux. 

Pêche: le vote positif de la commission Développement du Parlement européen, un "signe de confiance" en le Maroc

Le vote positif, mardi, de la commission Développement du Parlement européen en faveur de l'approbation du protocole de pêche Maroc-UE est un "'signe de confiance" de l'Union européenne à l'égard du Maroc, a affirmé l'eurodéputé Cristian Dan Preda. 

"Le vote en faveur du nouveau protocole de pêche UE/Maroc est un bon signe et une marque de confiance de l'UE à l'égard de son partenaire marocain", a affirmé M. Preda dans une déclaration à l'issue du vote. 

Le parlementaire roumain, qui est l'auteur du rapport de la commission Développement approuvé mardi, a exprimé sa satisfaction du résultat qui sanctionne un long débat entre les eurodéputés au sujet de l'accord de pêche Maroc-UE. 

"L'adoption de ce rapport est un signal fort pour avancer sur la voie de notre partenariat et notre coopération avec le Maroc", a souligné M. Preda qui est également membre du Groupe d'amitié UE/Maroc au Parlement européen. 

M. Preda a ajouté qu'en approuvant ce rapport, les eurodéputés "signent l'aveu d'échec des adversaires traditionnels du Maroc qui font fi des questions essentielles de développement en invoquant des considérations purement politiques et idéologiques". 

A travers ce vote positif, les parlementaires soulignent le caractère fondamental de la perspective de développement aussi bien pour l'Europe que pour son partenaire marocain, a-t-il insisté. 

Avant la session de vote, M. Dan Preda a tenu à informer les membres de la Commission Développement de l'avis du service juridique du Parlement européen qui souligne le caractère "légal" de l'accord de pêche Maroc-UE. L'avis juridique balaie d'un revers de main les allégations de certains détracteurs du Maroc selon lesquelles l'accord de pêche serait contraire au droit international. 

Dans son rapport, Dan Preda souligne que le nouveau protocole, paraphé en juillet dernier par le Maroc et la Commission européenne, renforcera le partenariat entre les deux parties et contribuera au développement de la filière pêche du Royaume. 

Il fait également observer que la particularité de cet accord réside aussi dans le fait qu'il a été conclu entre deux partenaires qui partagent une frontière commune et qui ont décidé de renforcer leurs relations politiques et de s'acheminer vers une intégration progressive de leurs économies.

PE: Le vote en faveur de l'accord de pêche, une reconnaissance des réformes démocratiques du Maroc

Le vote mardi de la commission Développement du Parlement européen en faveur de l'approbation du protocole de pêche entre le Maroc et l'Union européenne est une reconnaissance des efforts déployés par le Maroc dans les différents domaines, a affirmé l'eurodéputé français Jean Roatta. 

"C'est une victoire pour le Maroc et une reconnaissance des réformes qu'il a engagées sur la voie du développement et de la démocratie", a souligné M. Roatta dans une déclaration à la MAP à l'issu du vote. 

M. Roatta a ajouté qu'en votant pour l'accord de pêche UE/Maroc, les eurodéputés ont suivi la voie de la raison et de la sagesse et donné un exemple de ce que l'Europe doit faire avec les pays de son voisinage sud après les évènements du Printemps arabe.

"C'est la première fois que les eurodéputés ont bien réfléchi", a-t-il insisté, notant qu'"il était temps pour que les Européens regardent bien ce qui se passe de l'autre côté de la Méditerranée et renforcent leur partenariat avec les pays qui sont résolument engagés sur la voie de la démocratie". 

La commission Développement du Parlement européen a approuvé mardi le rapport de l'eurodéputé Cristian Dan Preda qui a recommandé au Parlement européen d'approuver le nouveau protocole de pêche paraphé en juillet dernier par le Maroc et la Commission européenne. 

Dans son rapport, M. Preda souligne que l'adoption de ce protocole renforcera le partenariat entre le Maroc et l'UE et contribuera au développement de la filière pêche du Royaume. 

Avant la session de vote de ce rapport, M. Dan Preda a tenu à informer les membres de la Commission Développement de l'avis du service juridique du Parlement européen qui souligne le caractère "légal" de l'accord de pêche Maroc-UE. 

L'avis du service juridique du Parlement européen balaie d'un revers de main les allégations de certains détracteurs du Maroc selon lesquelles l'accord de pêche serait contraire au droit international. 

-MAP-