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Lundi 10 Février 2014

M. Akhannouch à Paris pour présider le comité mixte agricole franco-marocain

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M. Akhannouch à Paris pour présider le comité mixte agricole franco-marocain

Les relations économiques maroco-françaises offrent un cadre favorable pour une entente durable

Les importantes relations économiques et commerciales entre le Maroc et la France offrent un cadre favorable pour une entente durable, en particulier dans l'intérêt réciproque des secteurs agricoles dans les deux pays, a affirmé, mardi à Paris, le ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch.

Intervenant dans le cadre du premier comité mixte agricole maroco-français, M. Akhannouch a rappelé que les échanges agroalimentaires, qui oscillent entre 1,2 et 1,5 milliard d'euros, représentent en moyenne 15 pc de la valeur totale des échanges commerciaux entre les deux pays, ajoutant que la France est la première destination des exportations agroalimentaires marocaines avec 33 pc de part de marché.

La France est également le 2ème fournisseur du Royaume avec 14 pc de part de marché, a-t-il poursuivi, ajoutant que le Maroc est, hors pays de l'Union européenne, le 3ème fournisseur de la France.

Le ministre a en outre souligné l'importance qu'occupent les filières représentées à cette rencontre à savoir les céréales, les viandes bovines et les fruits et légumes dans le secteur agricole marocain.

Il a, à cet égard, souligné que la France est le principal fournisseur du Maroc en céréales, bien qu'il soit vrai que sa part a diminué de 50 pc entre 2011 et 2012 passant d'environ 41 pc à seulement 22 pc, se félicitant de la coopération qui existe depuis 2006 entre l'Office National des Céréales et Légumineuses pour la partie marocaine et France Agrimer ainsi que France Export Céréales pour la partie française.

Concernant la filière bovine, le ministre a indiqué qu'elle revêt une importance toute particulière pour les agricultures marocaine et française. 

Le ministre a également indiqué que dans le cadre du Plan Maroc Vert, le Royaume vise à améliorer le patrimoine génétique, ajoutant que la France a plus que doublé sa part de marché entre 2012 et 2013 passant de moins de 11 pc à près de 23 pc. 

Il reste par ailleurs beaucoup à faire aujourd'hui au Maroc concernant la filière bovine comme par exemple sur le volet abattage, transformation ou encore la mise en place d'un centre d'excellence pour la filière, a-t-il dit. 

Concernant la filière des Fruits et Légumes, le ministre a indiqué qu'il occupe une place un peu différente des deux autres filières, notamment depuis la mise en place de l'accord agricole entre le Maroc et l'Union Européenne en octobre 2012. 

En effet, au-delà de la coopération technique et commerciale, cette filière revêt une sensibilité toute particulière et ce tout autant pour les marocains que pour les pays européens de la Méditerranée, a-t-il poursuivi.

Le Comité mixte agricole franco-marocain a été institué par la convention de partenariat dans le domaine agricole entre le Maroc et la France signée lors de la visite d'Etat dans le Royaume du président français François Hollande en avril 2013.

Ce comité vise la dynamisation de la coopération institutionnelle mais surtout la coopération entre les professionnels des deux pays. Au-delà de l'échange sur les flux ou les données de production, les réunions du comité permettent d'offrir un espace de débat et de concertations sur les différents sujets d'intérêt commun.

Les travaux de ce comité ont été marqués par un échange entre les professionnels des filières céréales et semences, bovine et fruits et légumes des deux pays, outre l'examen du volet institutionnel notamment les politiques agricoles des deux pays notamment la sécurité alimentaire, l'agro-écologie et le développement des territoires ruraux.

Les deux parties ont également évoqué la coopération en matière de recherche, de formation agricole, agroalimentaire et vétérinaire, ainsi qu'en matière de veille stratégique et opérationnelle et des filières agricoles et de développement rural.

Le partenariat maroco-français dans le domaine agricole permettra d'envisager l'avenir en Afrique

Le partenariat maroco-français dans le domaine agricole permettra d'envisager l'avenir en Afrique, a affirmé, mardi à Paris, le ministre français de l'Agriculture Stéphane Le Foll.

"On a intérêt à développer notre partenariat pour anticiper ce qui va se passer et pour être présents en termes économique et agricole en particulier" dans les grands pays qui sont en développement en Afrique du nord, subsaharienne et de l'ouest, a souligné M. Le Foll qui intervenait, aux côtés du ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch, lors des travaux du premier comité mixte agricole franco-marocain.

"Il y a des potentialités en termes de production et de débouchés mais il y a surtout un défi alimentaire qu'il va falloir relever en Afrique", a-t-il insisté, relevant qu'"on sera plus fort avec le Maroc qui a déjà une présence très importante" sur ce continent.

Evoquant les travaux du premier comité mixte agricole franco-marocain, le ministre français a mis l'accent sur l'importance du dialogue entre les acteurs et les professionnels agricoles des deux pays et plus particulièrement des filières des céréales, viandes bovines et des fruits et légumes qui sont représentées à cette rencontre.

Il a également exprimé la disposition de la France à apporter son expertise pour développer davantage ces filières au Maroc, notant que le partenariat franco-marocain dans le domaine agricole peut servir d'exemple pour l'ensemble de la région méditerranéenne.

Le Comité mixte agricole franco-marocain a été institué par la convention de partenariat dans le domaine agricole entre le Maroc et la France signée lors de la visite d'Etat dans le Royaume du président français François Hollande en avril 2013.

Ce comité vise la dynamisation de la coopération institutionnelle mais surtout la coopération entre les professionnels des deux pays. Au-delà de l'échange sur les flux ou les données de production, les réunions du comité permettent d'offrir un espace de débat et de concertations sur les différents sujets d'intérêt commun.

Les travaux de ce comité ont été marqués par un échange entre les professionnels des filières céréales et semences, bovine et fruits et légumes des deux pays, outre l'examen du volet institutionnel notamment les politiques agricoles des deux pays notamment la sécurité alimentaire, l'agro-écologie et le développement des territoires ruraux.

Les deux parties ont également évoqué la coopération en matière de recherche, de formation agricole, agroalimentaire et vétérinaire, ainsi qu'en matière de veille stratégique et opérationnelle et des filières agricoles et de développement rural.

A rappeler que les échanges agroalimentaires entre le Maroc et la France atteignent 1,5 milliard d'euros, représentant en moyenne 15 pc de la valeur totale des échanges commerciaux entre les deux pays.

La France est la première destination des exportations agroalimentaires marocaines avec 33 pc de part de marché et le 2ème fournisseur du Royaume avec 14 pc de part de marché. Le Maroc, pour sa part, est , hors pays de l'Union Européenne, le 3ème fournisseur de la France.

M. Akhannouch visite le marché international de Rungis en région parisienne

Le ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime Aziz Akhannouch a visité mardi tôt le matin le marché international de gros de Rungis, situé dans le département de Val de Marne en région parisienne.

A cette occasion, M. Akhannouch s'est entretenu avec les responsables de la société gestionnaire du marché sur des thèmes ayant trait à l'efficacité commerciale qui constitue un enjeu décisif pour l'agriculture et l'industrie agroalimentaire, au statut juridique et au fonctionnement administratif du marché.

Le modèle du marché de gros de Rungis demeure attractif notamment pour le Maroc qui est doté d'une stratégie de réforme, d'organisation des marchés de gros, tout en assurant une exploitation moderne. 

Le marché international de Rungis, constitue un vecteur puissant de développement pour le commerce et ses opérateurs, avec plus de 2,5 millions de tonnes de produits alimentaires, dont la quasi-totalité de produits frais, qui y transitent chaque année.

Selon les statistiques de la société gestionnaire, les arrivages des produits du Maroc sur Rungis concernant notamment la clémentine (1.146 tonnes en 2012), les oranges (1.522 tonnes en 2012) et la tomate (7.100 tonnes en 2012).

Lors de cette visite, le ministre a effectué une tournée à travers les différentes dépendances du marché (pavillons viandes, produits laitiers, fruits et légumes...).

M. Akhannouch a entamé lundi une visite de deux jours à Paris au cours de laquelle il a présidé avec son homologue français Stéphane Le Foll les travaux du comité mixte agricole franco-marocain.

En marge des travaux de ce comité, MM. Akhannouch et Le Foll ont présidé lundi la cérémonie de signature de trois conventions de partenariat dans les domaines sanitaire, phytosanitaire et de la formation technique agricole.

M. Akhannouch a également pris part lundi à des rencontres agroalimentaires franco-marocaines tenues sous le thème "investissements croisés en France et au Maroc".

Ouverture à Paris des travaux du premier comité mixte agricole franco-marocain

Les travaux du premier comité mixte agricole franco-marocain ont débuté, mardi matin à Paris, par des rencontres entre professionnels du secteur.

Ces rencontres seront marquées par un échange entre les professionnels des filières céréales et semences, bovine et fruits et légumes des deux pays.

Les travaux devront se poursuivre par l'examen du volet institutionnel qui sera marqué par un échange de vue concernant les politique agricoles des deux pays notamment la sécurité alimentaire, l'agro-écologie et le développement des territoires ruraux.

Les deux parties examineront également la coopération en matière de recherche, de formation agricole, agroalimentaire et vétérinaire, ainsi qu'en matière de veille stratégique et opérationnelle et des filières agricoles et de développement rural. 

En marge des travaux de ce comité, le ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch et son homologue français, Stéphane Le Foll ont présidé lundi la cérémonie de signature de trois conventions de partenariat dans les domaines sanitaire, phytosanitaire et de la formation technique agricole.

M. Akhannouch a également pris part lundi à des rencontres agroalimentaires franco-marocaines tenues sous le thème "investissements croisés en France et au Maroc".

(MAP-11/02/2014)

Agroalimentaire: le spectre des perspectives de collaboration entre le Maroc et la France est très vaste

Le spectre des perspectives de collaboration entre le Maroc et la France dans le secteur de l'agroalimentaire est très vaste, a affirmé, lundi à Paris, le ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch, soulignant que les intérêts conjoints entre les deux pays sont très importants.

"Les intérêts conjoints entre nos deux pays concernant le secteur agroalimentaire sont très importants et nécessitent une plus grande synergie de la part de nos professionnels", a indiqué M. Akhannouch qui intervenait à l'ouverture des rencontres agroalimentaires franco-marocaines tenues sous le thème "investissements croisés en France et au Maroc".

Il a également appelé au développement des échanges commerciaux, des investissements des entreprises françaises au Maroc et des entreprises marocaines en France, relevant que le Royaume représente une plateforme pour adresser le continent africain dans son ensemble et en particulier la zone francophone, eu égard à la politique de rapprochement économique menée ces dernières années sous l'impulsion de SM le Roi Mohammed VI.

Le ministre a indiqué, d'autre part, que le secteur agricole marocain a connu de profondes réformes et un développement soutenu depuis 2008 avec le lancement du plan Maroc Vert, faisant savoir que le PIB agricole a bondi à fin 2012 de plus de 32 pc, de même que la production, toutes filières confondues, a augmenté de 43 pc.

Il a également affirmé que l'agro-industrie-marocaine se trouve devant un trend de croissance très important, notant que l'augmentation de la part des produits transformés est aujourd'hui un objectif fondamental du Plan Maroc vert.

M. Akhannouch a souligné aussi l'importance de consolider l'amont agricole, favoriser la transformation et la valorisation du territoire et organiser la commercialisation et la mise en marché, relavant que la priorité est de faciliter l'environnement des affaires pour placer les investissements au coeur du dispositif.

Parmi les mesures prises à cet égard, le ministre a cité la mise en place de l'Agence pour le développement agricole en tant qu'interlocuteur unique, le développement d'une offre de foncier industriel dans les 6 principaux bassins de production du pays par la création d'agropoles, la promotion d'une gamme de subventions cohérentes entre l'amont et l'aval afin de permettre un développement selon une logique intégrée au niveau de l'ensemble de la chaîne de valeurs et un approvisionnement en denrées agricoles diversifié et régulier.

Il a réaffirmé que la valorisation des produits agricoles est une réelle priorité, appelant, d'autre part, les grandes entreprises du secteur agroindustriel marocain à s'intéresser davantage au marché français dans une perspective à la fois de commerce et d'investissement.

Les rencontres agroalimentaires franco-marocaines auxquelles ont pris part plusieurs professionnels des deux pays ont abordé des thématiques ayant trait au "plan Maroc Vert", aux "opportunités d'investissement au Maroc", à "l'accompagnement des entreprises françaises dans leurs démarches vers le Maroc" et à "l'accompagnement des investissements internationaux dans l'agroalimentaire en France".

M. Akhannouch a entamé lundi une visite de travail de deux jours en France au cours de laquelle il présidera avec son homologue français, Stéphane Le Foll les travaux du premier comité mixte agricole franco-marocain. 

A cette occasion, MM. Akhannouch et Le Foll ont présidé la cérémonie de signature de trois conventions de partenariat entre le Maroc et la France dans les domaines sanitaire, phytosanitaire et de la formation technique agricole, avant de tenir un déjeuner de travail.

Agroalimentaire: le Maroc constitue un hub vers le marché africain

Le Maroc constitue un hub vers le marché africain et plus particulièrement celui de l'Afrique de l'Ouest pour les entreprises opérant dans le secteur de l'agroalimentaire, a affirmé, lundi à Paris, le ministre français chargé de l'Agroalimentaire, Guillaume Garot.

"Le Royaume offre un gisement d'opportunités pour les entreprises françaises opérant dans le secteur de l'agroalimentaire qui veulent conforter et développer leurs activités", a souligné le ministre français qui intervenait, aux côtés du ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch, à l'ouverture des rencontres agroalimentaires franco-marocaines tenues sous le thème "investissements croisés en France et au Maroc".

Après avoir rappelé que ces rencontres font suite à celle organisée en novembre dernier à Casablanca sur le même thème, M. Garot, a appelé les entreprises françaises et leurs homologues marocaines à développer un partenariat gagnant-gagnant en profitant du cadre institutionnel incitatif et dont les bases ont été jetées à l'occasion de la visite au Maroc en avril dernier du président français François Hollande et du plan Maroc Vert lancé par SM le Roi Mohammed VI.

Le responsable français a également plaidé pour le développement des co-investissements, soulignant que les entreprises marocaines et françaises sont capables d'explorer de nouveaux marchés.

Il a en outre exprimé la disposition de son pays à accueillir les entreprises marocaines qui ont le savoir-faire, l'expérience et l'expertise nécessaires, faisant observer que ces entreprises peuvent aider la France à atteindre certains objectifs.

Le ministre français a, d'autre part, mis l'accent sur la volonté partagée d'avancer ensemble sur la base des intérêts des entreprises dans les deux pays, notant que l'accord agricole entre le Maroc et l'UE ouvre des opportunités pour les deux pays.

Les rencontres agroalimentaires franco-marocaines auxquelles ont pris part plusieurs professionnels des deux pays ont abordé des thématiques ayant trait au "plan Maroc Vert", aux "opportunités d'investissement au Maroc", à "l'accompagnement des entreprises françaises dans leurs démarches vers le Maroc" et à "l'accompagnement des investissements internationaux dans l'agroalimentaire en France".

M. Akhannouch a entamé lundi une visite de travail de deux jours en France au cours de laquelle il présidera avec son homologue français, Stéphane Le Foll les travaux du premier comité mixte agricole franco-marocain.

Signature à Paris de trois conventions de partenariat entre le Maroc et la France dans les domaines sanitaire, phytosanitaire et de la formation technique agricole

Le Maroc et la France ont signé, lundi à Paris, trois conventions de partenariat dans les domaines sanitaire, phytosanitaire et de la formation technique agricole.

Ces conventions ont été signées lors d'une cérémonie présidée par le ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch, et son homologue français, Stéphane Le Foll, en présence du ministre chargé de l'Agroalimentaire, Guillaume Garot.

La première convention signée entre les deux parties porte sur des voyages d'études et stages en exploitations agricoles en France au profit d'étudiants des établissements de formation agricole.

La deuxième est relative à la mise à la disposition de la partie marocaine d'un expert Français pour accompagner la mise en œuvre de la restructuration du dispositif de l'enseignement technique et de formation professionnelle agricoles marocain, conformément aux orientations de la nouvelle stratégie marocaine de formation et de recherche agricoles

La troisième convention, signée par l'Office National de Sécurité Sanitaire des produits Alimentaires (ONSSA) et la Direction Générale française de l'Alimentation (DGAL), concerne la coopération sanitaire et phytosanitaire. 

Elle s'inscrit dans le souci de convergence des règlementations sanitaires et phytosanitaires du Maroc vers les réglementations et les normes de l'Union européenne, tout en insistant sur la nécessité de promouvoir les échanges de biens agricoles et alimentaires.

Ces conventions s'inscrivent dans le cadre des efforts de mise en place d'un partenariat durable dans les domaines d'intérêt commun des deux pays, notamment dans les domaines de l'agriculture, du développement rural et de l'agroalimentaire.

Dans des brèves allocutions de circonstance, MM. Akhannouch et Le Foll ont souligné que la signature de ces conventions s'inscrit dans le cadre des excellentes relations qui unissent les deux pays dans tous les domaines notamment agricole, réitérant leur détermination à oeuvrer pour promouvoir davantage la coopération bilatérale. 

M. Akhannouch a entamé lundi une visite de travail de deux jours en France au cours de laquelle il présidera avec M. Le Foll les travaux du premier comité mixte agricole franco-marocain.

M. Akhannouch à Paris pour présider le comité mixte agricole franco-marocain

Le ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime, Aziz Akhannouch, a entamé lundi une visite de travail de deux jours en France au cours de laquelle il présidera avec le ministre français de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, les travaux du premier comité mixte agricole franco-marocain.

A cette occasion, les deux ministres présideront la cérémonie de signature de conventions relatives au partenariat et à la coopération notamment dans les domaines de l'agriculture, du développement rural et de l'agroalimentaire.

M. Akhannouch, qui est accompagné d'une importante délégation, aura aussi un déjeuner de travail avec M. Le Foll.

Par ailleurs, M. Akhannouch interviendra, aux côtés du ministre français chargé de l'Agroalimentaire, Guillaume Garot, à l'ouverture des rencontres agroalimentaires franco-marocaines tenues sous le thème "investissements croisés en France et au Maroc".

Cette rencontre sera notamment marquée par la présentation des grands axes du plan Maroc vert, ainsi que des opportunités d'investissement qu'offre les Royaume aux entreprises françaises notamment dans le domaine de l'agroalimentaire.

(MAP-10/02/2014)